Les ruines du château de Takato, au-delà de leur intérêt historique sont aujourd’hui surtout réputées pour être un des plus beaux spot lors du Sakura. On ne nous avait pas menti !
Il nous faut un petit peu plus d’une heure pour rallier Ina, où nous avons rendez-vous avec une personne de la mairie de Takato. Nous sommes légèrement en avance, car comme nous l’explique dans un éclat de rire Kobayashi san, « too fast ». De fait, il n’a sûrement pas respecté à la lettre ou plutôt au chiffre les limitations de vitesse !
Finalement nous découvrons Takato alors que 8h n’ont pas encore sonnées et il y a déjà foule. Nous retrouvons sur place notre guide anglophone pour la journée et en avant.
Une fois encore on pourrait se lancer dans de grandes descriptions pleines de lyrisme, étaler à grand renfort de caractères d’imprimerie, la beauté du site, l’ambiance magique lors des envolées de pétales, les lumières, les ombres, les reflets … mais autant faire simple. Autant laisser parler les images.
Mais Takato n’a pas que des cerisiers à nous offrir. Le musée de la ville accueille une exposition d’armures de l’époque Edo. Ca tombe bien non ! En plus exceptionnellement on nous autorise à y faire des images.
Petit détour par la montagne pour un plan d’ensemble et un selfie.
Puis retour sur le site pour déguster la spécialité locale, des soba (nouille) faits main.
Nous prenons ensuite le temps de faire quelques images de l’ambiance avant d’aller faire un nouveau plan d’ensemble depuis le toit de la mairie, puis de prendre le chemin du retour.
Cette fois le trajet est un peu moins rapide, certainement la fatigue.
Après avoir longuement remercié notre accompagnateur, nous rentrons procéder au rituel du « repackage». Demain direction Takayama.
Mata ne !