Les grands Bouddhas comme idée de départ
À l’origine de ce documentaire, une passion pour les grands bouddhas géants et notamment celui de Kamakura que je trouve très beau. Je l’ai découvert il y a presque 20 ans et il m’avait beaucoup impressionné. Mes autres voyages m’ont permis de découvrir d’autres Bouddhas et l’idée de faire un documentaire me plaisait.
L’idée alors de rassembler d’autres géants du Japon m’est venue. J’avais déjà envie d’avoir le Mont Fuji en guest star. Je suis donc partie à la recherche de ce qui est géant au Japon et tout naturellement les robots et châteaux me sont très vite venus à l’esprit ainsi que les grandes tours de télécom ou d’observation.
En creusant un peu je me suis dit que rajouter les écrans géants ou panneaux pour finaliser le tout pouvait être une bonne idée.
Dans mes sujets de documentaire, j’aime bien parler de culture et de religion, d’architecture, de pop culture et d’économie. Le tout était bien présent dans l’écriture de mon documentaire en espérant ne pas trop parler des Bouddhas.
Voyage et début de l’écriture
Lors du voyage en novembre 2024, j’avais quelques idées précises d’images et d’endroits que je voulais présenter dans le documentaire, mais l’écriture n’était pas encore commencée. Par exemple, je n’étais pas encore convaincu de rajouter la partie tour ou pub, j’ai pris quelques images, mais j’aurais sans doute pris plus de rushs en 2024 et j’ai dû donc piocher dans mes rushs du passé.
L’écriture a pris un peu de temps avec notamment des recherches sur les aspects économiques et sur les Bouddhas. D’ailleurs, j’espère que mon interprétation sur les postures des mains des bouddhas est correcte. Un sujet assez complexe. J’ai trouvé que focaliser sur la posture des mains pouvait être intéressant.
Sur l’aspect technique, j’ai connu une petite mésaventure avec mon disque dur du montage qui a décidé sur un coup de tête de ne plus marcher à la mi-janvier. J’ai pu récupérer heureusement la plupart des données. Ma dernière sauvegarde datait de 3 jours d’avant le crash ce qui m’a permis de ne pas trop perdre de temps dans la récupération du montage.
Une première version était néanmoins prête début février et vint le moment de l’enregistrement de la voix, exercice délicat. J’aurais pu prendre une voix IA, mais j’ai préféré garder ma voix pour plus d’authenticité.
D’ailleurs en parlant d’IA, quasiment toutes les recherches ont été faites encore de manière traditionnelle : livres, site web avec Google trad …
J’ai quand même un peu utilisé de l’IA pour la musique où deux morceaux ont été conçus via le site Suno.
Bien sûr j’aurais pu continuer à peaufiner, mais il faut bien un moment sortir la vidéo et puis surtout, cela me laisse maintenant la liberté de réfléchir à de nouveaux projets de documentaire.
En attendant de vous proposer de nouvelles vidéos, je vous souhaite un bon visionnage de ce documentaire.