Il est 9h du matin lorsque le duo de charme de nos accompagnatrices vient nous chercher à l’hôtel. Yaku san que nous connaissons déjà depuis novembre dernier, est cette fois-ci en compagnie de Pauline. Un prénom bien français … normal pour une française.
Une chose est certaine au moins nous n’aurons pas de problèmes de communication.
Direction les ruines de Takeda. Le sakura est bien avancé, mais les arbres sont encore largement fleuris et les rafales de vent ravissent les visiteurs de leur pluie de pétales.
Nous avions déjà quelques belles images de novembre, mais pour donner un peu plus de vie nous sommes venus pour faire des plans en mouvement. Ce sera donc slider et steadicam !
En arrivant nous découvrons que sur place le mode accueil des touristes est passé à la vitesse supérieure. Le chemin est balisé et couvert d’un épais tapis noir de protection. Tout est fait pour qu’après des années de labourage par les pieds des visiteurs, l’espace puisse retrouver un peu de sa verdure d’antan.
Et quand on voit une fois encore la masse quasi ininterrompue de groupes qui débarque, on se dit que ce n’est pas une mauvaise idée.
[video_lightbox_youtube video_id= »m0CHjgT2Lv8″ width= »640″ height= »480″ auto_thumb= »1″]
Sous le coup de midi, nos images en poche nous redescendons pour une pause déjeuner bien méritée. Avant de repartir à l’assaut du versant opposé. Cet automne nous nous étions arrêtés au point de vue le plus bas. Cette fois nous faisons l’ascension complète.
Le panorama est splendide, difficile de dire plus, vous jugerez vous-mêmes avec les images un peu plus bas.
Fin de journée dans les rue de Takeda et organisation pour la journée du lendemain. Les conditions météo étant réunies on peut espérer avoir droit au phénomène de montée de la brume dans la vallée, et qui sait peut être avoir la chance de vraiment apercevoir le château dans les nuages.
Rendez-vous demain à l’aube.
Oh ! on a failli oublier. Giri giri (prononcez guili guili) ça veut dire pile poil !
Mata ne !